Qui sommes-nous?
Le secteur Vivre ensemble du Centre justice et foi travaille à la construction d’une société accueillante pour les nouveaux arrivants et dénonce les injustices qui entravent le processus d’intégration sociale et de participation citoyenne. Il intervient sur trois enjeux principaux : société québécoise et pluralisme; migrations internationales et protection des réfugiés; et pastorale interculturelle.
Un comité d’orientation nourrit la réflexion du secteur sur les défis qui se posent pour lui dans ces différents axes de travail. Il soutient la permanence dans l’élaboration d’activités de débat et de formation. En 2015-2016, les membres de ce comité sont : Samia Amor (doctorante en droit, Université de Montréal), Stéphanie Arsenault (travail social, Université Laval), Martin Bellerose (chercheur en théologie de la migration), Catherine Chesnay (École de travail social de l’UQAM), Élodie Ekobena (chargée de projets au secteur Vivre ensemble du Centre justice et foi), Élisabeth Garant (directrice du Centre justice et foi), Élisabeth Germain (militante féministe), Mouloud Idir (responsable du secteur Vivre ensemble du Centre justice et foi), Martin Jalbert (Département de littérature du Cegep Marie-Victorin), Louis-Philippe Jannard (doctorant au Département des sciences juridiques de l’UQAM), Siegfried L. Mathelet (docteur en philosophie-UQAM), Philippe Néméh-Nombré (doctorant en sociologie à l’Université de Montréal), Lilyane Rachédi, (École de travail social, UQAM), Myriam Richard (travail social, Université de Montréal), Jean-Charles Saint-Louis, (chercheur post doctoral au Département de sociologie de l’Université de Montréal), Neal Santamaria (chercheur à l’Institut de recherche sur l’intégration professionnelle des immigrants (IRIPI), Stéphanie Tremblay (Département de sociologie de l’Université de Montréal).
Les activités du secteur et le webzine Vivre ensemble permettent aux personnes rejointes ainsi qu’à différents acteurs du vivre-ensemble au Québec de développer une réflexion collective sur des questions que posent l’immigration et la diversité croissante à la société québécoise. Elles se caractérisent souvent par un effort de faire participer des francophones, des personnes issues de l’immigration, des gens de la minorité anglophone de même que des personnes appartenant aux nations autochtones, au cœur d’une même réflexion et d’un même débat.
Société québécoise et pluralisme
Le secteur s’intéresse particulièrement aux questions inédites que pose le pluralisme croissant pour l’identité nationale et les enjeux du vivre-ensemble. Il contribue à la réflexion sur les aménagements que doivent vivre les institutions québécoises (gouvernementales, communautaires et ecclésiales) face à la diversité culturelle et religieuse.
Nous coordonnons un groupe de dialogue féministe entre chrétiennes et musulmanes. Nous sommes aussi un organisme partenaire de la Chaire de recherche en immigration, ethnicité et citoyenneté (CRIEC) ainsi que du Centre d’études ethniques des universités montréalaises (CEETUM).
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Migrations internationales et protection des réfugiés
Constatant le désengagement des États face à la protection des réfugiés alors que s’accroissent les nombres et les besoins, le secteur Vivre ensemble analyse la contribution du Canada à ce défi ainsi que les enjeux internationaux liés à cette problématique. Cette réflexion sur les réfugiés nous a amené à tenir compte dans notre analyse des enjeux des questions des migrations internationales, des frontières et de la circulation des personnes en contexte de mondialisation.
Le secteur est membre du Conseil canadien pour les réfugiés (CCR), de la Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes (TCRI), du Comité d’action contre la traite humaine à l’interne et à l’international (CATHII) et du Comité sur les travailleurs migrants temporaires du Front de défense des non-syndiquéEs (FDNS).
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L’immigration touche aussi de plus en plus l’Église catholique. Les gens se rassemblent en partie dans les paroisses nationales ou les missions ethniques, mais un nombre important se retrouve aujourd’hui au cœur des communautés traditionnelles francophones ou anglophones. Le secteur Vivre ensemble soutient ces initiatives par sa réflexion sur la pastorale interculturelle. Dans le contexte de pluralisme religieux, il s’intéresse aussi au dialogue interreligieux comme dimension importante de la vie des croyants. Il participe aussi à l’organisation de la célébration annuelle de la Journée mondiale des migrants et des réfugiés dans le diocèse de Montréal.
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Équipe :
Mouloud Idir, responsable du secteur Vivre ensemble
Élodie Ekobena, chargée de projet